L'Antre aux secrets
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 4 - Taverne de Narbonne

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MessageSujet: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 11:58

4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Après une chevauchée plus courte et plus paisible, en fin d'après midi, le groupes arriva aux abords des remparts de Narbonne. Dans le ciel commençait à poindre l'amoncellement de nuages qui menaçaient à tout moment de se rompre en un déluge tant ils obscurcissaient le ciel.

Dequerne, bien assez fatigué de cette étape et voulant presé le pas s'adressa aux inséparables:

"Mes Dames, pressons nos montures, il va falloir arriver avant que la pluie puisse nous surprendre!"

Talonnant sa jument, il l'élança au galop, suivi de près par les deux Valkyries, cheveux au vent, et ils galopèrent tous trois jusqu'à la ville, passant à toute allure par ses portes. Quelques gouttes commence à laisser des rond humides sur les pavés retentissant des bruits des fers des chevaux lancés dans leurs course.

Le groupe arriva juste à temps à l'écurie attenante à une auberge, mais point de palefrenier... ils durent désceller leurs montures pendant qu'une pluie battante couvrait la ville de ses ardeurs. Dequerne flatta l'encolure de sa jument et déposa selle et licols dans le casier de bois prévu à cet effet, puis il esquissa un léger sourire, heureux à l'idée de pouvoir enfin se détendre devant un bon verre.

Poussant la lourde porte de l'auberge, il pénétra à l'intérieur suivit des deux frangines. Leurs tenant celle-ci, il les laissa pénétrer au sein de l'établissement qui semblait mieux fréquenté que ceux par lesquels ils furent passés jusqu'à présent.

Dequerne se dirigea vers le comptoir d'un pas lent sur le planché que ses lourdes bottes faisaient résonner, il salua de la tête la serveuse et le tavernier puis commanda sa boisson favorite... un Cognac...
_________________

4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408586Bellinda La Démone


Ils arrivaient presqu'au terme de leur voyage. Les cavaliers approchaient au triple galop. le ciel s’assombrissait, le vent c’était levé, la pluie menaçait de tomber à tout moment depuis le matin, était arrivée en même temps que les voyageurs.
Petite pluie au début, qui devint vite violente. Ils étaient heureux d’être enfin à l’abri. Pour une fois... il avait eu le nez fin le Brun! en leur demandant de se dépêcher sur le chemin.

Au moins il servait à quelque chose. Ils dirigèrent leur monture, dans une écurie, et descendirent de leurs montures en déchaussant leurs pieds des étriers.
L'endroit était chaud et humide, ils mirent les chevaux dans leur box et entreprirent de desseller leur canasson.
Ils rentrèrent donc dans l'auberge. Bellinda encapuchonnée, ôta sa capuche dévoilant son visage non quelque peux tiré par la fatigue et cape, qu'elle tint d'une main et passa l'autre dans ses cheveux pour leur redonner un peu plus de volume.

De son regard de feu montrant son tempérament de braise, scruta la salle et s'attarda sur chaque personne présente. Elle se fraya un passage entre les gens jusqu’au bar, espérant pouvoir s’y accouder.
Une fois au comptoir, elle commanda alors deux pintes trois repas et réserva deux chambres. Le temps que les repas soient prêt, tout trois partirent s'installer à une table, histoire de se détendre un peu ... Regardant Dequerne elle lui demanda :

On est bientôt arrivé ?
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4 - Taverne de Narbonne 080823063535300482408579*Hyldra*

Le réveil à Béziers, sur les bords de la rivière, fut étrangement silencieux, et se fit quasiment sans accrochages entre le brun et les sœurs scandinaves. A vrai dire, le fait que Hyldra s’était plongée à nouveau dans son mutisme habituel avait certainement facilité les choses.
La route avait rapidement été prise, sans perte de temps, après avoir décampé au plus vite.

Tout le long du voyage, qui les amenait à Narbonne, la belle de glace était restée très songeuse, en suivant les deux autres un peu à la traîne. Toutes ces vagues de durs souvenirs qui avaient refaits surface, en l’espace de peu de temps, provoqués par cet abruti de Dequerne, n’avaient qu’entraîné la cadette un peu plus dans ses tourments et sa souffrance intérieure. Au et à mesure de ses pensées, et que leur chevauchée progressait, la rage et la fureur se propageait et se déployait en elle, se décuplant à travers ses membres, qui par réaction se crispèrent un à un, contractant chacun de ses muscles.
Un peu perdue et déboussolée, sa monture ressentait toute la tension qui animait sa cavalière ne sachant comment prendre ces signes. L’étalon s’agitait doucement face aux contractions brusques et soudaines des jambes d’Hyldra, qui elle, ne ressentait plus qu’un besoin, pouvoir évacuer toute cette colère grandissante, d’une manière ou d’une autre. Il fallait qu’elle se défoule et vite… Cette allure de croisière commençait à l’agacer.

Lorsque, à l’approche de la ville, les premières gouttes de pluie fine tombèrent, poussant ce groupe à accélérer leur cadence, la belle de glace n’attendit pas plus longtemps pour donner un vif et brutal coup de talon à destrier, l’emmenant ainsi au grand galop. Cette accélération subite, qu’elle accueillit avec immense satisfaction, arrivait à point nommé. Le vent froid venait fouetter à grandes giroflées son visage, mais c’était ce dont exactement Hyldra avait besoin. Elle apprécia cette averse battante, qui la revigorait peu à peu. Comme si chaque goutte qui venait choir sur elle, faisait se dissiper au fur et à mesure ses souvenirs et donc sa rage, en apaisant sa douleur.
Bien sûr sa haine était toujours présente en elle, et jamais ne la quitterait, mais parfois, elle devenait incontrôlable et se manifestait par des spasmes de crispation chez la scandinave au visage froid et dur, qu’elle ne pouvait réprimer. Ces tremblements et tensions subites représentaient en fait les stigmates de son adolescence…

Leur folle chevauchée se termina donc dans l’écurie d’une petite auberge, que Dequerne avait choisie, pour y faire une halte. Ils passeraient la nuit dans cet endroit.

Entrant dans cette taverne, les trois cavaliers trempés allèrent s’installer autour d’une table après avoir commandé de quoi se sustenter. La cadette ne prit même pas la peine de saluer les tenanciers de cet établissement, et encore moins les clients qui y étaient présents.

Bien entendu, Hyldra prit place aux côtés de sa sœur, et non auprès de ce mâle, cherchant même à s’y éloigner autant que cet emplacement lui permettait. Plus elle l’éviterait, mieux cette quête se portera, et plus vite elle pourra prendre fin. Cette collaboration commençait vraiment à devenir insoutenable. La belle de glace ne pourrait pas en supporter encore beaucoup plus. Cette histoire n’avait que trop duré, et ses limites n’allaient pas tarder à être atteintes.
La question de Bellinda l’intéressait donc au plus haut point, ou plutôt, surtout la réponse que Dequerne allait lui apporter.
A son tour, elle fixa le brun impudent, d’une mine interrogatrice mais toujours aussi sévère et glaciale, se disant qu’il valait mieux pour lui que la réponse lui satisfasse.
Puis, après l’avoir ôtée, elle jeta sa cape complètement regorgée d’eau de pluie, sur le siège qui tenait place juste à côté du rustre.
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:01

4 - Taverne de Narbonne 080824081636300482412808Kristen.

Kristen ayant fini son repas, elle jeta un regard sur le coté et vit un beau brin puis une splendide blonde passer commande auprès de Fitz le tavernier.

Elle se prit l'initiative de prendre Capucine de vitesse, la voyant trop occupée pour l'instant, et Kristen prit un grand plateau et se dirigea vers le comptoir. Elle y déposa les repas, les pintes et le verre de Cognac, puis se dirigea précautionneusement vers leur table afin de les servir.

Le posant sur la table elle leur dit:

"Bienvenu à la Taverne de le Dague Rouillée. Voici vos commandes, Messire et les mes Dames, je vous souhaite un bon appétit."

Kristen disposa les boissons, et chaque plat, fumants d'une vapeur alléchante puis sourit aux voyageurs.
Elle prit les Ecus et alla les remettre au tavernier d'un pas léger, se faufilant entre deux clients.
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4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

La pluie battait son plein au dehors, et Dequerne assit à la tablée face aux deux frangines, la regardait tomber à travers les carreaux de la taverne. L'eau commençait à ruisseler sur les pavés Narbonnais et les gens couraient pour se mettre à l'abri. Il fut tiré de ses songes alors qu'une jolie blondinette portant un lourd plateau ou trônaient leurs repas et consommations vint les servir.

Dequerne régla la petite serveuse, sortant sa bourse, et lui déposa en main la rétribution. Cette petite serveuse semblait débuter et il la sentait encore malhabile quoique motivée,tout en lui adressant un large sourire en réponse au sien et la regarda partir et se glisser habilement entre deux clients.

Dequerne se retourna et constatai que la taverne ne désemplissait pas et que les conversations et les rires allaient bon train.

Il commençait à se détendre de son voyage et fut tiré de nouveau de ses pensées par par le timbre de voix de Bellinda, qui pour une fois, n'était pas sec:

"On est bientôt arrivé ?"

Il lui sourit en lui répondant:

"Bien heureusement, car ce voyage me semble long.
La prochaine étape sera l'ultime...
Carcassone...
Mais il faudra y rester longtemps sur place et lier contact en écumant tavernes et auberges, mais...

Il faudra éventuellement dispenser telle une pluie: Ecus et "tartes dans les museaux"...
Quoi que je préfère tout de même la seconde option car... défoulante.... mais la première est plus discrète... et nous attirera plus de respect..."


Dequerne s'interrompt quelques secondes le temps que l'agile serveuse passe à leurs cotés se dirigeant vers des clients à servir, glissant rapidement entre deux épaules et disparaissant dans cette foule joyeuse. Puis souriant avec espièglerie il rajouta:


"A moins que vos charmes... puisse éventuellement.... enfin voila quoi, à vous de voir!

Le but est de trouver ce manoir, puis le moyen d'y entrer sans pour autant nous y introduire... nous y faire introduire serai déjà plus judicieux...
Mieux vaut y être attendu... je me vois mal frapper à la porte en demandant si c'est bien ici...

Donc un long travail d'enquête devra être fait, et peut-être la chance nous sourira!"

Dequerne but une lampée de son Cognac, puis entreprit de se sustenter, trop affamé par cette longue journée de voyage, il jeta tout de même un regard quasi amical envers les deux frangines, et tout en soufflant sur un bout de viande encore brulant, piqué au bout de sa fourchette, s'attendant à une quelconque demande de renseignements supplémentaires.
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:02

4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408586Bellinda La Démone

Assis à leur table ! ils attendaient leur boisson. Bellinda repensa à son pays et aux boissons de là bas, les Scandinaves étaient de grands consommateurs. Comme l' Akvavit, eau de vie nordique, neutre à haute teneur en alcool, aromatisée d'herbes et d'épices variées. fabriqué à partir de la pomme de terre. Spécialité scandinave, pour les rudes gosiers de là-bas ! La bière au malt d’orge non houblonnée. Elle fût sortit de ses pensées en entendant Dequerne répondre à sa question, après un petit laps de temps, qui fût vite interrompu par un:

" Bienvenue à la Taverne de le Dague Rouillée. Voici vos commandes, Messire et les mes Dames, je vous souhaite un bon appétit."

Mais quelle pétasse cette blondasse. Elle lui répliqua:

On s'en fout de savoir si on est les bienvenues ou pas! on veut boire, manger, ne pas être dérangé, avoir la paix et dormir, pour pouvoir se casser demain.

Dit elle agacée d'avoir été interrompu dans leur conversation, par son arrivée. Celle-ci, déposa le tout sur la table. Elle regarda Dequerne faire le beau, vis à vis de cette tavernière, en la payant. Pfffffffff... il lui faisait penser à un de ces chiens en rut, qui venaient vers les soeurs, avec le même sourire, pour avoir satisfaction. Une envie soudaine de lui faire encore mal, monta en elle. Heureusement celle-ci partit, car Bellinda aurait été encore moins agréable. Voilà qu'il lui faisait le même sourire en poursuivant la réponse à sa question, une fois l'autre partit. Carcassonne était donc le fief du clan. Elle l'écouta encore et rétorqua:

"tartes dans les museaux ?"
Qu'entends tu par là ?

Demanda t-elle. Si c'était bien à quoi elle pensait, celui ou celle qui oserait lui mettre une tarte dans la figure, crèverait comme un chien galeux. Celui-ci ajouta:

"A moins que vos charmes... puisse éventuellement.... enfin voila quoi, à vous de voir! "

A cette phrase le sang de la jeune femme ne fit qu’un tour. Elle se leva immédiatement et hargneusement, s'approcha de ce maquereau
levant le bras pour lui assener un terrible coup. Elle se contrôla, sentant des regards se poser sur elle, s'abaissant au niveau de son oreille, tout en rabaissant le bras lui susura :

" Mangeons et allons dans la chambre. Je vais te faire découvrir les plaisirs scandinaves.
Tu vas adorer. Tu me plais beau brun"

Dit elle en passant sensuellement sa langue sur son lobe, le léchant jusqu'à son cou. Glissant une main sous sa chemise, ses ongles griffèrent lascivement son torse, au fur et à mesure que celle ci descendait. Elle se ressaisit et stoppa tout. Regardant l'espiègle dans le fond de ses yeux tel un prédateur, elle passa sa langue sur le contour de ses lèvres lentement, voluptueusement, pour le faire languir. Son visage était toujours fermé depuis le début. A aucun moment il ne s'était ouvert et sa future proie ne pouvait donc pas savoir ce qu'il se passait dans sa tête. Elle retourna à sa place et commença à manger, tout en lui faisant du pied sous la table. Il fallait que les frangines aient du charme! Elles allaient en donner à lui en premier. Il allait connaitre l'extase avec les deux poupées.

Se retournant vers sa soeur, qui avait assisté à la scène sans broncher, passa une main sur son magnifique visage et dit:

Ma chérie, va lui montrer un petit aperçu de notre soirée et longue nuit ensemble. Juste un tout petit peu de préliminaires. Les petites douceurs, si tu vois ce que je veux dire.

Lui faisant un clin d'oeil, elle espérait que celle-ci comprendrait son message, qui voulait bien dire:

" Ne montre aucune torture, sois douce avec lui pour le moment." ....
_________________

4 - Taverne de Narbonne 080823063535300482408579*Hyldra*

A peine furent ils installés autour de la table, qu’une petite blondinette vint à leur rencontre, avec un plateau dans les mains, apportant ainsi leur commande. Hyldra n’y prêta pas plus attention que ça, ignorant complètement la maigrichonne, même lorsqu’elle leur souhaita la bienvenue. Cette courtoisie hypocrite et mielleuse… qu’elle était bien insupportable pour la belle de glace. Mais ce fut, pour une fois, sa sœur qui invectiva avec virulence cette apprentie serveuse, en lui ordonnant de vite déguerpir.
Dequerne, lui en revanche, semblait apporter une tout autre attention à cette petite bêcheuse ! Intéressant… C’étaient donc les jeunes jouvencelles qui l’attiraient. Pas étonnant de la part de ce porc à vrai dire. Il devait les prendre au berceau pour que ça lui facilite la tâche. L’innocence, la naïveté et la fragilité, c’était ce qu’il devait apprécier le plus chez ces jeunes tendrons. Ou bien était-ce plutôt prendre leur virginité qu’il appréciait le plus ?
Rien n’étonnerait Hyldra chez cette raclure de toute façon.

Puis, enfin il se décida à répondre à Bellinda, en leur affirmant que Narbonne était bien la dernière étape avant d’entamer la phase finale de leur quête. La belle de glace écouta déblatérer encore une fois Dequerne qui ne cessait de débiter des paroles à une allure folle, encore et toujours... et pour la plupart inutiles comme d’habitude, notamment avec cette histoire d’écus et de tartes dans le museau. Du grand n’importe quoi ! La meilleure stratégie à adopter se profilerait de toute façon au moment venu.
Qu’il aimait faire son beau celui là, en jouant son petit chef arrogant. Mais rien de plus insupportable pour la cadette, qui rétorqua sur un ton agacé :

« Plus de respect… ? Plus défoulant… ? De toute façon qu’importe ! On s’en fiche. On verra surtout par rapport à qui l’on aura à faire et on agira en conséquence. »

Et voilà qu’il en rajoutait une couche avec tes précisions évidentes… « Le but est de trouver ce Manoir puis le moyen d’y entrer [….] un long travail d’enquête devra être fait.. »
Comme si les sœurs n’étaient pas au courant ! Et à son avis, si elles collaboraient avec un chien comme lui depuis le début, c’était pour quoi ? Bien évidemment, que leur objectif était de trouver le repaire de ce clan ! Elles n’étaient pas pour faire cueillette dans le verger ! Non mais il en faisait exprès ou il était vraiment abruti ?
Hyldra ne prit même pas la peine de répondre à ces stupides paroles. Autant ne pas relever.
En revanche, une autre partie de la longue tirade du crétin attira un peu plus l’attention de la belle de glace.


* Nos charmes, hein ? *

Bien évidemment que les poupées scandinaves usaient de leurs atouts pour arriver à leur fin, seulement, ce n’était qu’à leur propre initiative. Jamais elle ne le ferait pour quelqu’un d’autre… et à la demande de quelqu’un d’autre. Jamais plus, en tout cas…
Encore erreur de sa part, et il allait cette fois le regretter plus sévèrement. Son insolence dépassait les bornes. Alors qu’Hyldra s’apprêtait à lui faire rabattre le caquet de façon virulente et agressive, à peine eut elle ouvert la bouche, que sa frangine la coupa dans son élan, en lui présentant plutôt une proposition alléchante, que tout homme à sa place, se serait damné pour l’avoir. Elle retrouvait bien là, la malice et la coquinerie dont sa sœur savait ingénieusement faire preuve, illustrant ainsi son exubérance et sa finauderie, qui la caractérisaient tant. Voilà le rôle que Bellinda préférait jouer. Se faire aguicheuse.


Dans ce duo sororal, c’était souvent l’aînée qui racolait les proies, les séduisait, les attirait, puis s’adonnait à la luxure, avant que les sœurs ne les tuent. Le plus souvent Hyldra préférait regarder le petit manège de sa frangine, et agir à la fin, lorsque les mâles s’y attendaient le moins, pour assouvir sa vengeance, et se libérer ainsi un peu de sa haine qui la hantait, en leur ôtant la vie. Bien sûr la belle de glace aimait le plaisir de la chaire, mais contrairement à sa sœur qui pouvait profiter de n’importe lequel de ces chiens, Hyldra, elle, ne s’amusait qu’avec ceux qui lui plaisait, et qui selon elle, étaient dignes de partager sa couche. Enfin dignes… bien trop grand mot, puisque aucun d’entre eux, de toute façon, ne pouvaient l’être. Mais elle décidait de partager un moment de plaisir charnel qu’avec ceux qu’elle avait préalablement choisis, seulement les plus attrayants et les plus séduisants. C’était ce qui la distinguait de Bellinda, qui, elle, profitait de tous, sans limites.
Les cruelles et atroces épreuves qu’elles avaient toutes deux partagées n’avaient pas laissé les mêmes traces, chez chacune des deux sœurs. Hyldra avait décrété, depuis cette période, que plus jamais elle n’offrirait son corps à n’importe quel mâle.


La cadette esquissa un sourire en coin, presque carnassier lorsqu’elle vit sa sœur chercher à émoustiller Dequerne, d’abord par ces paroles plus qu’évocatrices, mais ensuite en poussant la tentation à travers ses gestes suggestifs et provocateurs. La belle de feu faisait ici une parfaite démonstration de ce à quoi pouvaient ressembler les charmes scandinaves auxquels le brun avait fait illusion.
Jusque là, Hyldra s’était contentée d’observer, avec son visage dur et froid, mais qui aussitôt se radoucit lorsque sa frangine lui adressa un regard complice, et qu’elle l’invita à son tour à donner un petit avant goût au brun, pour lui montrer de quoi elles étaient capables.
Bien sûr, que la belle de glace voulait par-dessus tout en découdre avec lui… Bien sûr qu’il l’agaçait toujours autant… Bien sûr qu’elle ressentait toujours cette rage quand elle se trouvait à ses côtés, lui donnant presque l’envie de l’égorger…

Mais Bellinda lui proposait là un tout autre amusement, d’un intérêt différent. Après tout, ça les occuperait un peu, en attendant. Il n’y avait rien d’autre à faire.
Comprenant bien la signification du clin d’œil de sa sœur, Hyldra jeta ensuite un regard en direction de Dequerne, en tentant d’occulter et de réprimer toutes ces pulsions fielleuses.

« Huummm… De petites douceurs ? C’est bien ça ? »

La cadette se leva doucement de sa chaise, contourna la table, pour venir se poster juste derrière Dequerne, pour la deuxième fois pendant ce voyage, mais cette fois ce n’était pas pour la même raison. Lascivement, en se penchant légèrement, elle plaqua sa poitrine contre lui, puis l’entoura de ses bras, dont ses mains vinrent se poser sur celles du brun, qu’elle effleura du bout des doigts. Elle attrapa ensuite les couverts avec lesquels le mâle était en train de manger, puis doucement les lui ôta des mains, en les plaçant dans l’écuelle.
Puis, lentement, elle se redressa, caressant sa nuque de son souffle chaud, et effleurant de ses doigts, ces bras masculins par-dessus l’étoffe de sa chemise. Elle ajouta d’une voix inhabituellement douce et suave :

« Je préférerais en faire la démonstration dans un endroit plus intime, et à l’abris de tous ces regards indiscrets et voyeurs… »

A ces mots, elle montra l’escalier qui menait à l’étage, où se trouvaient les chambres…
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:05

4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

L'ouïe de Dequerne n'arrivait plus à suivre cette multitude de mots qui faisaient tous appel à ses plus primaires motivations...

Ma chérie, va lui montrer un petit aperçu de notre soirée et longue nuit ensemble...
Juste un tout petit peu de préliminaires...
Les petites douceurs, si tu vois ce que je veux dire...

Puis...

Huummm… De petites douceurs ? C’est bien ça ?

La cadette se leva de sa chaise et contournant la table pour venir se poster juste derrière Dequerne et plaquer sa poitrine contre lui en l’entourant de ses bras. Il sentit le caresser un souffle chaud, au creux de son cou et elle dit...

« Je préférerais en faire la démonstration dans un endroit plus intime, et à l’abris de tous ces regards indiscrets et voyeurs… »

Puis à ces mots, elle montra l’escalier qui menait à l’étage où se situaient les chambrées, marchant d'une allure impératrice… Dequerne n'était pas réellement sûr d'avoir réellement bien entendu ces mots, tant ils étaient si peu attendus de la part des deux inséparables.... Il se contint secrètement, mimant l'indifférence.... mais il se demandait tout de même à quel jeu ce prêtaient les deux soeurs.... quoique sur l'instant il n'eût d'autres envies que de combler ses attentes... enfin tant que certaines certitudes ne serai pas mise à jours....

Dequerne regardait Hyldra, marchant d'un pas gracieux, non point celui des "filles du port" mais celui d'un femme ayant réellement conscience de sa grâce, et qui d'une manière féline s'exprimait avec légèretée sur le planché, en des sourds bruits de talons... résonnant en l'oreille de Dequerne tel d'irrésistibles sons l'appelant à elle...

Bien mal grés lui, il suit Hyldra, se demandant où les menaient ses propres pas, en oubliant même son repas... mais qui inéxorablement l'attiraient vers une issue incertaine mais délicieusement irrésistible....
Songeant en lui...

*En effet... ça promet...*

Puis il esquissa un sourire de contentement qu'il ne perçu pas lui-même, mais qui, mêlé à la fatigue de cette journée de voyage, se fit d'autant plus spontané.
Il n'avait pas de réel désir en tête mise à part de découvrir ce qui allait lui être offert, mais comme hypnotisé, il se devait de le découvrir...

Pas après pas, marche après marche, il regardait d'un regard espiègle les courbes de la Belle de glace ainsi présentée.... à son regard...
Dequerne ne se sentait point lubrique, mais empreint de cette quasi naïveté qui étraind la jeunesse encore inconsciente de certaines issues...
Il continuait de suivre cette femme, cette Dame, qui déjà se saisisai de la poignée de sa chambre.....
_________________

4 - Taverne de Narbonne 080823063535300482408579*Hyldra*

Comme attendu, Dequerne suivit la belle de glace sans broncher, emboîtant son pas, et tout en restant derrière elle, durant tout le trajet jusqu’à la chambrée. Elle n’avait même pas besoin de se retourner pour sentir le regard appuyé et convoiteux de ce mâle qui la parcourait de tout son long. Il n’avait même pas dû remarqué que Bellinda, sa complice, suivait elle aussi le duo, qui s’acheminait vers la pièce, prometteuse de mille délices (ou supplices….?).
Grimpant les marches une à une, Hyldra accentua son déhanché un peu plus encore offrant ainsi une vision délectable et alléchante de ses courbes harmonieuses au brun impudent. Lentement, et toujours sous les yeux enflammés et intéressés du mâle, elle continua son avancée vers la chambre qui les attendait, chacun de ses pas et de ses gestes s’inscrivant dans une allure sensuelle et voluptueuse. La cadette sourit intérieurement à ce petit jeu, et apprécia d’autant plus lorsqu’elle vit Dequerne dans cet état de quasi envoûtement, qui ne semblait plus pouvoir détacher son regard de la belle. Chacune de ses formes était scrutée avec minutie et envie, ce qui n’échappa pas à Hyldra, qui continuait à l’enjôler à travers sa simple attitude féline et séductrice. Attiser son désir d’abord par de simples mouvements corporels, mettant seulement en appétit ses yeux. La vue pour commencer… le toucher ensuite… et peut-être même que le goût suivrait…

Arrivée au niveau de la porte de la chambre, s’apprêtant à l’enclencher, poignée prise à pleine main, la belle de glace se retourna doucement, faisant face au brun qui se trouvait juste derrière elle, s’impatientant d’entrer dans cette fameuse pièce. De son regard métallique, elle accrocha la profondeur des iris masculins, emplis de curiosité et de malice, en se figeant un instant. Affichant un léger sourire aux coins de ses lèvres, elle détacha soudainement sa longue et soyeuse chevelure platine, qui vint s’échouer sur ses épaules dénudées. Hyldra jeta ensuite un coup d’œil complice et espiègle à sa sœur qui se trouvait derrière Dequerne, et qui avait fermé la marche jusqu’ici, puis elle entreprit enfin d’ouvrir l’huis, et pénétra à reculons, dans la pièce destinée normalement au repos, afin de rester face au brun, qu’elle invita à entrer. La malice et la finauderie pouvaient se lire à travers le regard de la belle provocatrice. Elle était bien décidée à jouer ce soir... Cela commençait à faire un petit moment de surcroît que les poupées scandinaves ne s’étaient pas adonnées à leur passe-temps favori…
Oh, bien sûr, ce Dequerne la mettait hors d’elle, et son comportement impudent ainsi que ses paroles pédantes l’agaçaient au plus haut point, mais son physique plutôt avantageux et séduisant suffisait pour le moment à ce que les sœurs occultent sa crétinerie. Et puis pour ce qu’elles s’apprêtaient à faire, elles n’avaient nul besoin de toute façon qu’il utilise son infructueuse petite cervelle. La cadette comptait bien s’amuser un peu ce soir…

Charmeuse, et d’un signe avec son index, Hyldra convia l’insolent à la rejoindre au pied du lit. Pendant ce temps, elle laissa le soin à Bellinda de verrouiller consciencieusement la porte, avant qu’elle les rejoigne à son tour.
Une fois Dequerne suffisamment proche de la femme glaciale, cette dernière le poussa brusquement sur le matelas, le forçant à s’y asseoir, en posant sa paume fermement sur son torse athlétique et robuste. Vraiment la seule chose qu’il avait pour lui. Heureusement que sa plaisante apparence cachait et dissimulait, au moins pour ceux qui ne cherchaient pas plus loin, la calamité, l’imbécillité, et la rusticité qu’il incarnait.

Toujours son regard acier planté dans celui du brun, Hyldra vint glisser un pied au niveau de son pli inguinal, tout proche de sa masculinité, et restant ainsi en appui sur son autre jambe clouée au sol. Un sourire carnassier se dessina aussitôt sur ses lèvres, se délectant de cette position dominatrice. Délicatement, elle se pencha sur lui, afin d’attraper le bas de ses jupons, qu’elle remonta avec lenteur et grâce, jusqu’au haut de sa jambe pliée sur Dequerne, effleurant du bout des doigts sa peau de pêche. Celui-ci pouvait ainsi à loisir profiter de la vue de la cuisse dénudée et galbée de la cadette, qui le narguait juste sous son nez.
Ensuite, un à un, elle entreprit de défaire les lacets de son corsage, à l’intérieur duquel sa poitrine était maintenue, avant de tendre un bras en direction de Bellinda, lui présentant sa main…

« Viens ma belle… C’est à ton tour de jouer… »

A ces mots, elle adressa à sa sœur un regard complice et sous entendu, accompagné d’un discret rictus espiègle.
Il voulait voir de quoi les frangines scandinaves étaient capables, et bien il allait être servi...
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Tout en savourant son excellent repas, copieusement bien arrosé, elle écouta et regarda sa soeur agir envers Dequerne. Un sourire de satisfaction, arbora son visage, lorsque celle-ci plaqua son buste contre le dos de Dequerne, ne lui laissant pas le temps de terminer son repas, elle lui proposait déjà le dessert. Hyldra, desserra l'étreinte, se recula et se dirigea vers l'escalier menant aux chambres, l'invitant à la rejoindre. Celui-ci se leva et l'a suivi de peu. Bellinda après leur départ, tout en terminant son repas, réfléchissait à un plan stratégique, pour que le beau brun n'ait pas à souffrir des sévices de sa soeur, avant de les rejoindre. Elle voulait laisser un peu Hyldra s'amuser avec, mais pas trop longtemps, de peur que cela ne dégénère. Bellinda ne voulait pas rester sur sa faim...

La nuit étendait son ombre sur la ville. Après le souper, elle se leva et se dirigea vers le comptoir, commandant une bouteille de cognac, qu'elle fît mettre sur l'ardoise de Dequerne. Une fois servie, elle monta l'escalier et les retrouva sur le pas de porte. Elle n'avait rien loupé. Ils entrèrent tout les trois dans la chambre, aprés le regard complice des deux soeurs. La relation entre Hyldra et Bellinda était une totale complicité, un attachement passionné, un amour exclusif, jusqu'à l'inceste. Elles avaient subi le mépris de leurs maquereaux, des gens de bien qui avaient abusés d'elles.

Une fois passé le seuil de la chambre, Bellinda verrouilla la porte derrière elle, retira la clef, s'approcha du lit et vit sa soeur devenir entreprenante, afin de faire succomber le beau brun. Mais de la façon qu'elle s'y prenait, elle allait plutôt le faire fuir et Bellinda n'en avait pas la moindre envie. Dequerne était assis sur le lit, restant passif pour le moment, jouant le jeu de sa cadette. La belle de glace, vint l'inviter à se joindre à eux, d'un geste de main, se tendant vers elle. La belle de feu prit sa main qu'elle porta à ses lèvres et y déposa de tendres baisers montant jusqu'à son épaule légèrement dénudée, puis l'attira par la taille afin de libérer Dequerne de son emprise et l'embrassa fougueusement, avant de venir s'occuper du beau brun.

Se libérant de l'étreinte avec sa soeur, elle ouvrit la bouteille de cognac en avala une belle gorgée, qu'elle sentit descendre et la tendit à sa soeur. S'approchant du beau mâle, elle plongea son regard dans le sien et dégusta longuement la douce tendresse qui commençait à l’envahir. D'un geste des plus lent, elle lui montra la clef entr'ouvrit son corsage, glissa ses doigts dans son décolleté et la cacha dedans, avant de s'approcher de lui. Elle passa ses mains dans les cheveux de Dequerne et capta son regard enflammé, puis se mit à califourchon sur lui en remontant sa jupe, tendit le bras vers la bouteille, que sa soeur venait de poser sur la table de chevet, en prit une gorgée, en imprégna ses lèvres, ne l'avala pas et l'embrassa, laissant couler le doux liquide parfumé de sa bouche à la sienne, se transformant en un baiser enflammé..
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:06

4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Il est là, assis sur ce lit, en attente... une bien douce attente... surprenante même, car il n'escomptait pas en cette soirée, après avoir mangé avec les deux soeurs, devoir assouvir une autre forme d'appétit...

Dequerne regardait Bellinda, cette belle de feu, habituellement si ardante, et dont la lueur de son regard changeait, s'adoucissait, d'une chaleur sans équivoque pour lui, mais qui le surpris d'autant plus délicieusement qu'il était à milles lieux d'imaginer vivre un instant tel que celui ci avec Bellinda... elle qui lui avait administrée brimades et reproches, et même une cuisante morsure... puis esquissant un sourire, elle lui montra la clé, qui lentement, se vit dissimulée au sein de son corset...

Il la regardait approcher d'un pas presque flâneur et désinvolte, et plongeant des doigts câlins dans la chevelure de Dequerne, elle le rivait d'un regard couleur acier dont l'intensité ne faisait que croitre à chaque secondes...

D'un geste gracieux, elle releva son jupon, dévoilant peu à peu, de fins mollets, des cuisses diaphanes, posant un genou conquérant à coté du bassin de Dequerne, puis un autre de l'autre coté, le chevauchant d'une manière féline, l'emprisonnant de sa personne...

D'une main délicate dirigée vers la table de chevet, Bellinda attrapa et leva la bouteille de Cognac qu'elle porta à ses lèvres, dans un geste raffiné, laissant l'émoi étreindre l'homme, captif entre ses cuisses et qui ne perdait des yeux aucun gestes, aucune intentions, et dont le regard aussi commençait à luire d'un désir devenu flagrant...

Celui-ci vit une fine goutte de cognac perler à la commissure des lèvres de la belle de feu, coulant lentement, suivant l'arrondit, de sa joue, descendant le long de son cou, glissant toujours plus bas et se perdant dans l'étoffe du corset... Bellinda vint poser doucement ses lèvres sur sa bouche, le faisant frémir à ce contact, mêlant sa langue à la sienne dans un baiser devenu réellement de feu... Dequerne sentait son spiritueux favori couler dans son gosier, mêlé de la saveur de la belle...
Posant ses mains sur les flancs de celle-ci, à la naissance des hanches, il les flatta d'une caresse emprunte de désir, remontant sur les cotés au niveau de la poitrine, puis, tout en poursuivant son baiser langoureusement, il entreprit de déboutonner le chemisier de Bellinda, patiemment, la libérant de cette étoffe superflue et faisant glisser sur ses épaules soyeuses... le jetant d'un geste rapide sur le coté...

Il enleva l'entrave des cheveux de la belle, laissant choir sur ses épaules une pluie couleur platine, augmentant cette impression de beauté sauvage mettant Dequerne en ébullition... puis il lança des mains exploratrices en direction des laçages au dos du corset, les faisant glisser lentement, désserrant la poitrine contenue, mais ne l'enlevant pas tout de suite.... Il souriait, dans son baiser, ne perdant pas une miette de l'intensité du moment, puis reculant son visage et rivant la belle d'un regard devenu à son tour de braise, Dequerne abandonna ses lèvres à cette poitrine toujours maintenue et, au bord du corset, il se saisit langoureusement de l'anneau de la clé, l'en extirpant, et d'un rapide geste de la tête, il la jeta au pied du lit...

Dequerne venait de choisir... il ne partirait pas tout de suite....
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4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408586Bellinda La Démone

La belle commençait à avoir chaud. cet homme l'attirait tel un aimant d'une force incroyable. Bellinda commença à ressentir une tiédeur, annonciateur d’un plaisir inconnu lorsque les mains du beau brun, commença à explorer son corps. Les mains de celui-ci, qui s’étaient posées sur ses hanches, remontèrent lentement sous son chemisier, qui frissonna sous ces doigts. Il lui ôta son chemisier, la laissant avec son corset, qu'il commença à délacer. Dénoua ses cheveux, qui tombèrent en cascade sur ses épaules. Bellinda, se mordit la lèvre inférieure, pour éviter les petits soupirs, qui pouvaient s’échapper de ses lèvres. La bouche de Dequerne vint se poser sur ses deux dunes vallonnées, pour en extraire la clef qu'il jeta au pied du lit. Son choix était fait. Il restait, malgré qu'il savait pertinemment les dangers encourus...


Elle fit glisser ses mains dans le cou puis sur le torse et sur le ventre de Dequerne afin de lui retirer sa chemise. Son regard à cet instant, se perdit sur son torse musclé, marbré, laissant glisser son regard sur sa poitrine parfaite et le descendre sur ces abdominaux sculptés, avant de se perdre sur le pantalon. La gorge de celle-ci c’était horriblement asséchée. elle attrapa le cognac, en avala une bonne rasade, en fit boire à son compagnon , lui fit comprendre de s'allonger et laissa couler de la bouteille un filet de ce nectar, partant de sa gorge, pour terminer sa course dans le nombril, qui se remplit très vite, et finir sous la ceinture. Elle laissa sa langue vagabonder sur sa gorge, dans une caresse plus que subjective. Elle s’appliquait consciencieusement à le parcourir de baisers et petit coups de langue, pour laper, tel un petit chat le liquide ambré sur sa peau.


Son souffle chaud ainsi que sa langue le faisait frissonner. La belle prit son temps, savourant son désir. Elle parcourait son torse, retraçant chaque sillon de sa peau. Puis descendit, jusqu'au nombril ou elle put récolter une goutte de cognac, qu'elle laissa dans sa bouche, tout en remontant vers son visage, frôlant ses lèvres dans une caresse sensuelle, puis posa ses lèvres sur les siennes, avec une avidité décuplée…Sa langue força le barrage de ces dents, entamant bien vite un duel effréné avec la sienne. Elle le fixa tout en jouant avec la langue à chatouiller son palais, le regard empli de questions et d’envies. Une tension était perceptible entre eux. Ils se désiraient et le savaient...
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4 - Taverne de Narbonne 080823063535300482408579*Hyldra*

Sans attendre, Bellinda attrapa la main de la cadette, l’attirant par la même occasion vers elle, afin de libérer Dequerne de l’emprise que Hyldra avait sur lui. La belle de glace grommela intérieurement, sa sœur avait parfaitement compris ce qu’elle avait derrière la tête, et cherchait ainsi à l’en dissuader. Dommage… elle se serait pourtant bien amusée, aux dépends de l’impudent. Mais l’aînée semblait avoir une toute autre idée du déroulement qu’allait prendre cette petite escapade dans la chambre.
Hyldra laissa donc la place à sa frangine, en bronchant légèrement, mais sans oublier de récupérer la bouteille de cognac qu’elle lui tendait. Un fauteuil de velours carmin se dressait au côté du lit, dans lequel la cadette alla s’installer, avec effronterie, adoptant une position arrogante et désinvolte. Son échine totalement adossée contre le fond du fauteuil, avec les avant-bras posés sur chacun des accoudoirs, elle croisa lascivement ses jambes, faisant glisser une cuisse sur sa jumelle, ses jupons soigneusement remontés. Une main tenait encore la bonbonne contenant l’eau de vie. La belle ainsi confortablement juchée, observa le spectacle qui s’offrait à sa vue, se délectant de voir Bellinda dans cette attitude si enchanteresse et envoûtante. Dequerne semblait en profiter tout autant, ce qui fit dessiner pendant un court instant un froncement au niveau du front de la jeune scandinave de glace, qu’elle ne put réprimer.

Ces deux êtres, dont leurs corps s’enflammaient au rythme de leurs effleurements et caresses charnelles, se livraient chacun leur tour dans ce jeu de provocation, cherchant à attiser un peu plus encore le brasier du désir qui les animaient. Ne ratant rien de cette vision, et s’attardant longuement sur chacune de ses courbes voluptueuses, Hyldra scrutait les moindres faits et gestes de sa sœur, qui se faisait féline et espiègle, toujours sans bouger du sofa, sur lequel elle se trouvait. Alors que sa frangine, elle, ne lui adressa pas un regard, pas une attention, totalement accaparée qu’elle était par ce Dequerne.
Bien qu’appréciant pleinement l’exhibition présentée à ses yeux, gagnée par le sentiment de jalousie, et frustrée de n’avoir pu exécuter son plan vengeur, la belle de glace ne put empêcher une certaine rage s’emparer d’elle. Toujours assise dans le fond de son fauteuil, dans une position dédaigneuse, elle sentait ses muscles se tendrent et ses membres se crisper, ses doigts agrippaient fermement l’extrémité des accoudoirs. Sa sœur l’avait complètement occultée en s’adonnant à ce sale type, et cela ne lui ressemblait pas.
Entre les lampées que Belinda elle-même s’octroyait, la cadette ne se lésina pas pour en s’avaler plusieurs longues rasades successives du liquide ambré, enfermant de ses lèvres le goulot de la bouteille. Ainsi cherchait elle à se calmer, en laissant les effets de ce spiritueux agir, et s’accaparer d’elle, afin de forcer sa colère à se dissiper. Elle se vengeait sur le cognac.

S’abandonnant à cette ivresse enivrante, Hyldra ne quittait pas des yeux pour autant le manège qu’était en train de jouer son aînée, qui cherchait à faire succomber le mâle à travers les happements suggestifs et envoûtants de sa langue assoiffée.
Une chaleur étourdissante, provoquée par les gorgées abondantes du nectar ambré, envahissait peu à peu la belle de glace, dont le visage, habituellement si froid, prenait doucement une teinte plus rosée. Sa tête commençait à se perdre dans un trouble tourbillonnant…
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:09

4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Dequerne se sentait exalté comme rarement il le fut dans sa vie, sentant la main câline de Bellinda lui parcourir le cou puis sur le torse et descendant sur son ventre pour entreprendre de lui retirer sa chemise, dévoilant sa musculature forgée au fil du temps et des épreuves de sa vie tortueuse...
Il se sentait flatté d'être parcourut de se regard gourmand, Bellinda semblait apprécier ce qu'elle voyait et ne se privait en rien du spectacle détaillant lentement chaque partit de son torse avec avidité dans un demi sourire coquin, puis elle s'abreuva une nouvelle fois de cette subtile liqueur, laissant Dequerne spectateur, impatient de la fin de cet entracte, et la détaillant à son tour tant de ses yeux que de ses mains, profitant de chaque galbe, de chaque courbe, de chaque arrondit si harmonieusement équilibré le laissant en proie à une faim grandissante qui en lui même le galvanisait...
Puis elle lui fit boire à son tour, d'un geste lent et méthodique, lui emplissant le gosier de cet aphrodisiaque liquide aux parfums puissants, prémice d'une ivresse propice à un ébat des plus fougueux...

Et d'un geste rapide et impétueux qui le surpris elle le poussa par le torse afin de lui intimer l'ordre de s'allonger, chose qu'il fit sans résistance, car l'envie ne manquait pas, et Dequerne était même satisfait de cette initiative lui laissant un sourire emprunt d'espièglerie illuminer son visage...

Puis telle une libation à Apollon, elle fit jaillir de ce fine alcool se déversant sur sa gorge et ruisselant sur son torse, amplifiant cette sensation de frissonnement apporté par la fraicheur du liquide à celle plus érogène du désir déjà puissant l'habitant... Et Bellinda abandonna ses lèvres sur les muscles luisant d'alcool, les parcourant attentivement, caressant de sa langue sa peau frémissante que parcourant désormais des vagues de frisson étreignant sa chair tel des arcs électriques... Il sentait son sang pulser dans son cou, ses tempes, car si la belle était de feu, lui était le chaudron que de langoureuses flammes léchaient lentement et tout son corps était en ébullition...

Plus enclin à se montrer direct avec les femmes, Dequerne découvrait les délices de la patience, soumis à cette douce torture de l'attente, à épier chaque geste, profiter de chaque mouvements de la Belle, en occultant presque la présence de sa soeur se repaissant de ce sensuel spectacle... Mais il se rendait bien compte que Bellinda aussi succombait à un désir grandissant, que le souffle brulant trahissait en parcourant sa peau humide, et elle s'appliquait ardemment à s'abreuver de ce nectar ambré, descendant jusqu'à son nombril afin d'y récolter la quintessence de son désir mêlé d'alcool, puis telle une vague, le corps de la belle remontant sur lui et elle appliqua langoureusement ses lèvres au sienne, dans des mouvements si lascif que Dequerne tirait partit au maximum de ce baiser, percevant la pulpe de ses lèvres, les grain de peau de celle-ci et liant sa langue à celle de la belle dans une passion charnelle toujours plus grandissante.

Lors de ce baiser et sans même sans rendre compte, Dequerne finissait de délasser le corset de Bellinda, et jetant les liens négligeamant au sol puis l'étoffe busquée, il plaqua la poitrine de la belle de feu contre son torse et s'embrasa d'autant plus de l'union de leurs deux peaux, et rajoutant toujours plus de fougue à son baiser en caressant ce dos soyeux, le bord de son visage et les épaules éffleurés des cheveux de cette flamboyante femme le rendant fou de désir et la saisissant par la taille il renversa la situation à son avantage, la faisant pivoter sur le coté et se plaçant sur elle...

Dequerne scrutait le regard d'acier rivé sur lui, mais qui était habité d'une lueur sans ambiguïté à son éguard, emplit d'une quasi douceur mélée de passion charnel qui le fit fondre, résultat que seule les femmes pouvaient atteindre, le faisant oublier chaque parcelle de sa rudesse et de sa dureté acquise au fil des ans. Il se délesta prestement de sa chemise entrebaillée et s'abandonna de nouveau à un jeu coquin jeu de langue, se cherchant, s'évitant, se narguant, et longeant l'homme dans une totale ivresse autant dû à l'alcool qu'à son désir, celui là même qu'il refoulait depuis presque quatre jours et que Dequerne relachait à l'intention de la belle qu'il convoitait secretement depuis ce "baiser mordant" qu'elle lui administra... Il abandonna une main sur un sein dont il cajola l'éminensce qui réagissait favorablement au contact de son pouce, et la faisant rouler sous celui-ci.

Il percevait la respiration de la belle de feu dont la fréquence de la respiration s'accroissai à chaque secondes, laissant échapper par intermitance d'infimes gémissement comme autant d'encouragements à plus d'audace encore...
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Bellinda était perdue dans les sensations envahissantes qui ne cessaient de monter et d’éveiller ses sens en elle. Moment annonciateur d'une enivrante envie incontrôlable de désirs, de plaisirs de la chair, de caresses appuyées qui la feront vibrer, oubliant peu à peu la présence de sa soeur qui les matait, installée tranquillement sur le sofa à siroter le cognac, s'avinant surement, pour se donner le cran de les rejoindre . La cadette aimait voir sa soeur prendre du plaisir. Cela la distrayait et l'excitait d'une certaine façon, pour assouvir sa soif de meurtre, au moment ou l'homme se libérait. L'ainée attendrait le moment propice, pour la faire intervenir, mais ce coup-ci, il y aurait changement. Pas question de le tuer. Prendre son plaisir avec, mais pas le planter. L'ivresse du cognac, finirait par la rendre euphorique, qui lui procurerait un bien-être intérieur, à la fois moral et physique, confinant une volupté amoureuse.


Continuant leur baiser plus passionnel que jamais, la belle sentit son corset se détendre, faisant glisser progressivement l’habit délicat sur ses épaules et l’aida en soulevant ses bras, révélant une poitrine généreuse. Elle balaya ses longs cheveux blonds puis pencha la tête en avant, passant ses mains sur son torse tout en faisant glisser sa longue chevelure sur le corps de son amant. Dans une étreinte langoureuse, elle se sentit tout à coup plaquée et retenue contre son torse haletant, puis la fit basculer sous lui. Face à face avec lui, Bellinda perdit son regard dans le sien, ses mains descendirent sur son dos, tandis que Dequerne, dirigeait sa main vers la vallée de ses seins qu’il caressa avec sensualité. La belle de feu se sentit submergée par de doux frissons, son corps, imperceptiblement, se cambra. Ce qui provoqua en elle une décharge de sensations délicieusement malicieuses


Elle serra les dents pour éviter que sa soeur ne perçoive ses gémissements. Son corps sur le sien, chaque partie de leur corps étaient en contact. Elle voulait son corps, il voulait le sien. Leurs mains se baladaient sur leurs corps brûlants. Ils découvraient chaque partie de l’autre dans des effusions de caresses et de baisers. Bientôt ça ne leur suffirait plus. Ils voudraient encore plus de l’autre. Ils avaient clairement envie de l’autre....
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En proie à une quasi fièvre parcourant chaque fibre de son être, Dequerne respirant de plus en plus fort lors de ce baiser d'un souffle brulant glissant le long de la joue de cette belle de feu, et flattant la poitrine abandonné sous lui à ses caresses toutes plus friponnes les unes que les autres.
Puis, l'audace s'amplifiant, il abandonna ses lèvres au creux de se cou, tendre comme un fruit gorgé de soleil, doux comme une pêche, mais immaculé comme la neige de la Scandinavie natale de Bellinda.

Dequerne descendait lentement, le long de se cou, avec une gourmandise des plus appliquée, parcourant la clavicule, et longeant toujours cette peau, la rasant ou l'étreignant de ses lèvres, y glissant une langue coquine par intermittance, ressentant sous cette peau, les poumons s'emplissant toujours plus rapidement d'un souffle devenu désormais haletant et passionné, et descendant toujours inlassablement son visage vers cette opulente poitrine dont Il saisit tendrement une des éminence entre ses dents et la caressant d'un langoureux jeu de langue, tandis que déjà ses mains oeuvraient à l'ouverture du jupon ceinturé de Bellinda, libérant la boucle, lentement, et le faisant glisser sous elle... Dequerne, en pleine transe, se releva et fit parcourir sur la peau soyeuse cette étoffe inutile à présent... puis s'attacha à reprendre avec langueur son baiser, partant du plexus de la belle, sentant cette peau de pêche réagir par de petites vagues de frissons, et descendant toujours, inéxorablement, parcourant le nombril de la pointe de sa langue le cajolant d'une attention particulière puis dirigeant son visage vers l'intimité de la belle de feu, qui sous les lèvres de Dequerne semblait s'embraser pour de bon... abreuvant son désir à même la source, ruisselante de ses attentions...

La belle, gémissante, mouvant son bassin, lascivement, lui caressant les cheveux en y glissant des doigts crispés de plaisir.... et pendant ce temps... Hyldra regardait toujours, la bouteille de Cognac à la main et se mordillant la lèvre inférieur de ce spectacle inattendu offert à son regard gourmand...
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Le corps de la Belle de Feu se courba sous les baisers brûlants du beau brun. Elle ferma les yeux quelques secondes, pour savourer ses caresses. Il prit dans un premier temps possession de sa bouche, puis de son corps tout entier. Laissant parcourir cette bouche gourmande, jusqu'à un obstacle, l'obligeant de cesser tout activité. Ses mains dévalèrent sur le jupon, le faisant glisser le long de ses jambes, Elle se souleva doucement et le laissa faire sans problème. Elle était nue désormais. Dévoilant un fruit fendu et très juteux.

Celui ci contempla l'abricot avant de le porter à sa bouche. Il le savoura avec avidité pour en boire tout le nectar, le pressa contre ses lèvres pour en déguster la chair. Elle se cambra à son maximum pour s’offrir toute entière, qui lui fit ressentir un vif plaisir. Les gémissements laissaient place à des exhortations plus ou moins étouffées. Il prit son désir en main, elle ne put que se laisser faire et savourer ses attentions. Il guidait son plaisir sur le moment. Son plaisir gonflait sous ses baisers. Son souffle chaud si près de sa moiteur, se cambrant sous le velours de sa langue sur son abricot la rendit folle. Elle sentit une chaleur moite délicieuse l'envahir. Sans s’en rendre compte, elle ondulait doucement. La belle était au bord de l'extase


Ses doigts se crispaient dans ses cheveux, n'y tenant plus, elle tira sur ses racines, pour le faire remonter, plongea alors son regard dans celui de son amant et l'embrassa goulument. Elle le fit mettre sur le côté, ses mains parcourant ses flancs et instinctivement, se presse contre lui par désir, glissant sa main sur son ventre, détachant sa ceinture, faisant glisser le pantalon et le reste au bas des pieds. Doucement cette dernière découvrit l’objet du délit. Elle approcha doucement sa bouche de son attribut en émoi, l’embrassa sur le bout, puis tout le long avant de le savourer , telle une sucette. Elle le gouta lentement d’abord, puis accéléra au fur et à mesure, la ressortant de temps en temps pour en lécher la surface et l'enfourna ensuite pour continuer sa succion intensive...
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:10

4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Haletant, et allongé sur le dos, le corps toujours plus parcourut de frisson, Dequerne profitait pleinement de se faire déguster telle une friandise, qui fond sur la langue, que l'on savoure lentement, dans un langoureux jeu de va et vient, il en souriait même d'aise... jetant un regard malicieux à Hyldra qui se régalait à cette seule vision, assise nonchalament sur le sofa, tenant toujours fermement sa bouteille de Cognac en main...

Et plus le temps s'égrainait et plus la belle de feu s'embrasait sur l'attribut érigé à ses attentions toutes plus délectables les unes que les autres et dont le renouvellement perpétuel maintenait toujours Dequerne sous une délicieuse tension... presque intenable... et il remarqua qu'elle savait déchainer avec application et savoir faire tant de fougue à son égard...

Mais il se sentait enhardit et reprit les choses en main, glissant ses doigts dans les cheveux platine de cette pulpeuse Scandinave, il lui fit comprendre d'un geste de s'avancer vers lui, elle lui sourit, comprenant d'instinct son projet, et de ses mains et de ses genoux elle avança félinement telle une tigresse, et habitée du même regard prédateur... Dequerne se plaçant derrière elle... et tout en lui caressant les flancs, descendant jusqu'aux reins, il s'immisça en elle, lentement. Tout en s'activant avec langueur il lui parcourant le dos d'un baiser incandescent, glissant en elle par les langoureux mouvement de son sacrum... Bellinda penchait sa tête en arrière telle un louve hurlant à la lune, et dont les gémissements s'intensifiaient de battements en battements...

Se relevant un peu, au dessus de se dos parfaitement lisse parcourut de la soie platine de la chevelure de la belle ardente et dont le galbe des reins appelait à la gourmandise, il poussa légèrement de sa paume sur les omoplates de la belle pour lui faire se plaquer les épaules sur le lit... elle tourna son visage de coté, lui jetant un regard espiègle et un sourire enjôleur puis s' exécuta lentement...

Dequerne, haletant, lui saisit dans chaque main d'un mouvement ferme les cuisses de Bellinda, qu'il espaça pour parfaire sa délicieuse intrusion dans son intimité désormais bien plus que moite... et poursuivit ses ardeurs d'une fougue toujours plus grandissante...

S'adonnant à son désir Dequerne s'ingéniait à assouvir sa partenaire, la belle ardente déployant de mélodieuse vocalises en constante augmentations et en parfaite accord à ses assauts répétés tel une ode au plaisir qu'ils partageaient tout deux... Bellinda, inconsciemment commençait à étreindre les draps de ses poing, emportée par la jouissance...
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4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408586Bellinda La Démone

La Belle, remontait doucement son visage à hauteur du sien. Là, leurs regards remplis de plaisir se croisèrent. Elle lui murmura au creux de l'oreille, de sa voix la plus charmeuse :

- Alors beau brun! Tu as envie de qui là ? »
Ma soeur ou moi ?

Ses hormones, la travaillait c'est pour cela que son corps était attiré par celui de Dequerne. Ce vit, semblait être l’outil tout désigné pour entretenir ce fruit juteux. Une fois dans la position, suant de plaisir, elle dégagea son cou de ses longs cheveux indomptables, légèrement humides, avant de frissonner sous une série de petits baisers sur son dos. Après une longue attente, ils passèrent à l'acte, en saisissant ses hanches et laissèrent leur corps se balancer… aux rythmes fous de l’extase. Il se mit à la manier, d’abord lentement, tout en douceur et délicatesse, petit à petit, pour la faire languir de désir et aussi pour la garder plus longtemps avec lui car il savait que cette nuit était la première mais certainement la dernière. Des frissons parcoururent la jeune femme de toute part, puis avec frénésie. Jamais elle n’avait aimé à ce point la sensation d’un homme en elle.

Elle adorait la force, la puissance, la façon que Déquerne avait de coulisser en elle. Quelques secondes plus tard, le beau brun était en train de la chevaucher furieusement, pendant que dehors, la pluie redoublait d’intensité... Leurs deux corps ne faisaient plus qu’un dans cette danse où nul ne savait quand serait la fin. Ses gémissements redoublèrent, générant des vagues de volupté d’une indescriptible force. Ses mouvements prenaient bien soin de donner la plus grande amplitude. Ses mains s’étaient mises en mouvement. Par légères pressions, il lui fit comprendre de plaquer ses épaules sur le lit, la belle était en position de soumission.Une lueur espiègle brillait maintenant dans ses yeux.

Bellinda serrait les dents, mais ne pouvait s'empêcher de gémir, tenant fermement les draps du lit, comme si elle allait être projetée vers le mur... Pourtant, elle volait en pleine ascension vers le septième ciel... Sa poitrine paraissait s'ébattre, cherchant à s'enfuir de son corps tant ils gigotaient. Ses battements de coeur étaient presque audibles. Elle avait le visage enfouis dans l'oreiller et fut emportée dans un élan de désir, provoquant un frisson de jouissance. Une chaleur intense régna en ce lieu permettant à leur corps suintant de sueurs, de s’exprimer. .
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4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Au comble du plaisir, il sentait sa tête vaciller d'intenses sensations, enivré par l'assouvissement de son désir envers cette Belle flamboyante qui avait toujours ses mains crispées les draps et égrainant par intermittance des gémissements dont l'intensité devenait quasi séraphique... Mais Dequerne était frustrer sur un point, ne pas voir son visage, et Bellinda ne méritait pas d'être traitée comme une fille de joie, elle avait bien plus de raffinement...

Il se saisit fermement des hanches de la belle mais avec douceur et, la faisant pivoter sur le coté, il la fit se mettre sur le dos, ces cheveux platine répandus sur le matelas et contrastant avec la couleur sombre des draps, renforçant ce aspect presque pure et angélique de ses traits.

Dequerne s'immisça de nouveau en elle, ainsi encouragé par le souffle court de la Belle qui ferme les yeux, les entrouvrent, ses yeux ne voyaient rien : le désir la submerge, elle n'en peut plus, elle gémit encore, et encore, se mord les lèvres pour ne pas crier et elle se cambre pour mieux offrir son corps aux attentions de son amant, frissonnante, sentant croitre le plaisir, tout en s'abandonnant dans cet élan charnel, tout en laissant le rythme accélerer...
Mêlant sa langue à celle de la belle dans de fougueux baisers et en battant fermement de ses reins contre ces hanches, Dequerne aimait la force de cet instant unique, la fougue dont il faisait preuve, il se sentait fort, et Bellinda semblait adorer se laisser aller sous ses mains expertes et ses gestes tantôt doux, tantôt guerriers et, incité par la plaisir ruisselant de la belle, il poursuivait de ses reins les ardeurs de ses attaque sur ce temple du plaisir... sentant ce corps frétillant, il attrapa les cuisses de la belle et, les portant ainsi, montrant toute la fougue qui l'habitait, glissant d'avant en arrière en d'enivrants mouvements, il laissait s'échapper râles et gémissements, entendant son bassin claquer contre cette intimité humide, il sentit poindre le plaisir de l'extase... Bellinda lui enserrait les reins de ses jambes croisées autours de lui et, n'en pouvant plus, elle lâcha de doux cris s'échappant de sa fine bouche, Dequerne sentait le long de son épine dorsal l'extase le parcourir et dans des gestes puissant il se répendit en elle tout en gémissant sous cet intense plaisir le submergeant... Intensément...

Les deux amants se laissèrent totalement choir sur le confort douillet de ce matelas accueillant leur corps luisant de sueur par l'effort et le plaisir... La pluie au dehors ne cessait pas de redoubler d'intensité et le soir commençait à tomber peu à peu sur les bâtisses Narbonnaises. Dequerne fit rouler sa tête sur l'oreillé et adressa un regard en direction d'Hyldra toujours confortablement installée sur le sofa...
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4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408586Bellinda La Démone

Il cessa ses mouvements, se retira et fit retourner délicatement la belle de feu sur le dos. Leurs yeux se croisèrent. Dans leur regard se lit leur désir, leur incontrôlable envie de s'appartenir, de ne faire qu'un jusqu'au bouquet final. Le désir et le plaisir étaient maintenant si forts qu'elle faisait totalement abstraction de tout ce qui pouvait se passer autour d'elle. Ses jambes entourèrent les hanches de son amant, le laissant ainsi prendre totalement possession d'elle... elle referme ses bras autour de son cou .

Ils se soudèrent l’un à l’autre et leur chevauchée recommença. Un désir fou la jeta le plus fort possible contre son ventre. Il lui lança de grands et profonds mouvements de balancier, mais aussi plus lents, plus doux et plus violents à la fois afin de la satisfaire. Il prit les lèvres offertes de la Belle de Feu les plongeant dans un langoureux baiser. leurs langues se cherchent, s’avalent, se collent, se mélangent, se mêlent, s'emmêlent et se démêlent au rythme de leur envie, à leur faire perdre le souffle. Son rythme s’accroît proportionnellement à l’amplitude de ses gémissements qui se muent bientôt en cris tellement elle prend du plaisir. Ses cris viennent altérer la sérénité qui régnait dans la pièce.

Elle remua sa tête dans tous les sens et poussa de longs gémissements. Son corps était agité de soubresauts
et de frémissements. Ses reins s’animaient et ondoyaient. Elle sentit le plaisir monter en elle, son corps s'arc-bouta et ne retint pas le cri qui lui monta aux lèvres du plus profond de son corps. Son corps se mit à trembler, à se tortiller sous ses mouvements. Ses ongles griffèrent le dos de Déquerne, ses jambes se tendirent d’un coup. Bellinda frémit de plaisir et son fruit fendu laissa échapper une ondée chaude, au moment ou lui se répandait. Épuisée, elle lova sa tête dans son cou, sa joue se blottit sur son épaule, ses mèches collées par la sueur.

Juste avant de s'endormir, elle lança à sa soeur !

Tu as tort de jouer les voyeuses. Il vaut le coup, crois moi.

Dit elle en se couchant sur le côté droit, mettant sa main sous l'oreiller, puis s'endormit, n'attendant pas de réponse de sa soeur.
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:13

4 - Taverne de Narbonne 080823063535300482408579*Hyldra*

A la fois transportée par l’ivresse tourbillonnante qui la gagnait, et captivée par le spectacle luxurieux qu’offraient sa sœur et Dequerne à travers leurs ébats, Hyldra, qui s’était faite voyeuse, se délectait pleinement de cette vision charnelle, sentant au fur et à mesure une certaine chaleur galvanisante l’envahir. L’atmosphère de la pièce dans laquelle les protagonistes étaient immergés, s’imprégnait d’un mélange d’effervescence et d’exaltation grandissantes, résultant de l’ardeur des deux corps en fusion.
Emportée par ces ondes fiévreuses, la Belle de Glace ne détachait pas son regard lubrique de ces deux chaires qui fondaient l’une dans l’autre. Toujours confortablement lovée dans le fauteuil en velours carmin, elle pouvait sentir l’enivrement, déclenché par l’absorption irraisonnée d’alcool, intensifier et attiser le brasier qui enflammait son intérieur. Avec une pointe de perversité, la cadette savourait des yeux chacun des moments sensuels que partageaient son aînée avec le mâle, contemplant à loisir leurs anatomies en pleine transe.

Une fois leurs désirs entièrement assouvis, et leurs plaisirs menés jusqu’à leur comble, les deux amants s’affalèrent de tout leur long, l’un à côté de l’autre, par-dessus les draps encore humides de leurs ébats.
Dequerne adressa une œillade provocatrice à la Belle de Glace, en même temps que Bellinda apostrophait sa sœur. Tort de jouer les voyeuses ? Oh non au contraire… Hyldra s’était régalée. Bien plus que son aînée pouvait le croire ! Cette dernière se laissa d’ailleurs aussitôt emportée par le sommeil, certainement épuisée par les efforts et l’énergie qu’elle venait d’employer. Dommage pour elle. La cadette lui aurait bien dévoré les lèvres, peut-être même un peu plus… avant de la laisser rejoindre les bras de Morphée. Eveillée par la vision de leur danse charnelle, cette envie la titillait depuis un moment déjà. Mais ce soir, elle ne pourrait apparemment pas profiter de sa frangine, et satisfaire ses désirs naissants avec elle, comme elle l’escomptait.
La Belle de Glace fixa alors Dequerne, d’un regard plus que espiègle, se remémorant les paroles de sa sœur… « Il vaut le coup, crois moi ». Allait-elle le vérifier ? Laisserait-elle la curiosité et la tentation la pousser à tester ce mâle ? Encore faudrait-il qu’il en soit capable après l’intense activité qu’il venait de livrer avec sa frangine. Avait-il encore la force nécessaire pour subir les assauts de la cadette, qui seraient de surcroît bien plus sauvages que ceux de son aînée, qui s’était faite, elle, plutôt délicate et docile ?
Intriguée, Hyldra voulait savoir ce qu’avait dans le ventre cet arrogant. Retrouverait-elle l’insolence de ses paroles dans ses actes concupiscents ? Au moins, elle servirait cette fois à bon escient.

Tout en soutenant le regard de Dequerne, bien que légèrement en proie à des étourdissements, provoqués par son ivresse, la femme de glace quitta son sofa, en s’appuyant sur les accoudoirs, pour se diriger vers le brun, d’un pas lascif et chaloupé, sur le rythme des gouttes de pluie qui s’abattaient sur la lucarne.
Balançant ses hanches avec grâce et volupté, et avec son corset délacé, Hyldra se présenta devant lui, avant de venir le chevaucher brusquement, en relevant avec soin ses jupons. Un large sourire carnassier vint s’afficher sur son visage froid, mais aux joues rosies par les effets du cognac ingurgité.
Les mains de la Belle entamèrent une lente exploration de son torse, débutant au niveau de son bas ventre, pour les faire doucement contourner son nombril, puis s’attardant un instant sur les traits et les creux laissés par sa musculature virilement dessinée. Au fur et à mesure de l’ascension des doigts de la femme glaciale, ses ongles s’enfoncèrent un peu plus dans la chaire masculine, parcourant ainsi le buste de Dequerne, sous toutes ses coutures. Elle aimait sentir la sensation de la peau qui se transperçait sur son passage, se délectant de la vue des marques sanguinolentes. Arrivées au niveau des épaules du brun, les mains d’Hyldra vinrent se poser de chaque côté du visage du mâle, avant qu’elle ne se penche sur lui félinement, laissant sa poitrine épouser son torse. Plongeant ses canines dans la chaire de son cou, elle lui octroya une féroce morsure, qu’elle apaisa par un discret frôlement de sa langue.
Se redressant légèrement pour accrocher les iris de Dequerne, Hyldra passa ensuite celle ci sur ses lèvres, à la fois avec voracité et gourmandise, savourant ainsi les gouttes de sang qu’elle avait réussi à prélever dans son cou.

Allait-il donc être capable de relever le défi?

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4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Dequerne, le corps encore brulant de l'acte accomplit, assista médusé à la phrase lancée par Bellinda:

Tu as tort de jouer les voyeuses. Il vaut le coup, crois moi.

Puis, voyant du coin de l'oeil la belle de glace se lever, il lui jeta un regard plein d'étonnement, la glace fondait....

*Ah... c'est c'est donc comme ça qu'elles comptent s'y prendre pour me tuer.... en effet ça promet*

Il esquissa un demi sourire malicieux à la belle qui le regardait avec gourmandise, elle se leva en s'appuyant fermement de ses bras sur les accoudoirs et s'approchant de lui d'un pas envoutant. Dequerne avait peine à réaliser ce qui allait pouvoir se produire, puis fondant sur lui telle une prédatrice, d'un air décidée elle chevaucha son corps nu et luisant de sueur et son visage fermé habituellement se fendit d'un sourire plein de promesses... Il avait l'impression d'être la proie d'une lycanthrope, affamée, qui explorait de ses griffes la surface de son torse, y laissant de petites griffures cuisantes et tout à la fois délicieuse, qui lancèrent en Dequerne une seconde vague d'énergie que seule la douleur pouvait provoquer, mais dispensé par cette femme ce tourment prenait une tout autre conotation, sans ambiguïté... puis cette belle grisée par le Cognac et succombant à son désir se pencha sur lui, blottissant ses lèvres au creux de son cou mais n'y administra pas de baiser mais une lanscinante morsure qui fit se raidir Dequerne, et ses chairs entres les dents de l'impétueuse furent parcourut d'un lent mouvement de langue... elle aimait la violence.... et il ne la boudait pas non plus...


Se redressant légèrement, cette belle le riva d'un regard couleur acier, comme à son habitude, et glissant sa langue sur ses lèvres, prélevant le fluide vital de Dequerne...

Celui-ci se sentait déjà habité par le renouveau de son désir... et donc être capable de relever le défi de cet instant de sexualité débridée... Il se releva et s'assit plaquant son torse tout contre cette poitrine prisonnière de ce corset, frustrante prison aux yeux de Dequerne... qui déjà abandonnait ses mains à un délassage minutieux... et ses lèvres à déguster le grain de peau de cette femme de glace fondant comme neige au soleil sous ses attentions, aidée de ce fin Cognac... Mais Dequerne ne mordait pas, lui, bien qu'il la déguste tel un fruit, d'un baiser emplit de passion charnelle, parcourant chaque coins, chaque parcelle, la belle pencha sa tête en arrière, dégageant sa gorge sous cette attention en perpétuelle renouvelement...

Il abandonna à coté du lit le corset et pouvant enfin sentir le contact de cette chair brulante contre la sienne, il enlassa la taille d'Hyldra d'un bras, l'accolant a lui dans un geste ferme mais délicat, il s'adonna à se délecter des lèvres de cette splendide insoumise, mêlant sa langue à la sienne, dans un balai fripon.... il la sentait s'enhardir entre ses bras, le souffle se raccourcissant peu à peu et fronçant ses sourcils dans une attitude d'application, elle semblait à son tour apprécier son abandon... puis parcourant de ses paumes la surface lisse des cuisses de la Belle de glace, cette douce peau de soie fine, brulante, frémissante à son contact, Dequerne remontant loin sous le jupon par des gestes explorateurs, jusqu'au la naissance de ce fessier rebondit, appétissant.... mais il lui fallait rétablir l'équilibre des nudités... et s'attaqua à détacher dans une quasi hâte la ceinture du jupon


La belle le chevauchant toujours, Dequerne fit glisser avec langueur l'étoffe bleu cyan, vers le haut, le long de son corps, et au passage du visage, les bras relevés lorsque celle-ci en fut libérée, Dequerne crut entrevoir Hyldra, l'espace d'un instinct, telle sur une gravure de Madonne, mais dont la blondeur presque aussi claire que les neiges renforçait cette lueur de désir de ses yeux gris-acier entre-ouvert...

En proie au renouveau de son désir, rendant vigueur à sa fibre masculine, Dequerne s'allongea alors sur le dos et se "laissa à disposition" de la belle de glace tout en lui lançant un regard coquin...
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4 - Taverne de Narbonne 080823063535300482408579*Hyldra*

Conquérante, la belle de glace se retrouva rapidement dans son plus simple appareil, savamment dénudée par l’entreprise de Dequerne, qui avait donc décidé de relever le défi lancé. Alors que le brun explorait les monts divins de la dominatrice de sa langue affamée, dégustant jusqu’à ses sommets, celle-ci sentit une enivrante euphorie l’emporter dans les vagues déchaînées de l’exaltation. Les battements de son cœur s’affolèrent soudainement, tambourinant sous sa poitrine, et accompagnant le rythme saccadé et haletant de sa respiration qui s’était endiablée. Pendant qu’il savourait la peau fine et satinée des deux fruits ronds et fermes d’Hyldra, elle agrippa son cou vigoureusement l’emprisonnant sous ses mains, afin de lui montrer qu’elle conservait toujours le contrôle, bien qu’envahie par les tourbillons enflammés du désir. Son corps entier s’embrasait sous les passages de la bouche brûlante et insatiable du mâle, qui lui aussi semblait gagné par une certaine excitation, entraînant un regain d’énergie de sa masculinité, qu’Hyldra, par sa position, pouvait sentir s’exhaler contre son intimité ainsi éveillée.

Dequerne s’étendit de nouveau sur les draps, s’offrant à la belle, et lui laissant le loisir de disposer de son anatomie virile et saillante. Telle une bête sauvage, elle prit soudainement d’assaut la bouche du mâle, qu’elle avait envie cette fois non pas de déguster mais de dévorer, guidé par un appétit débordant, plaquant ses pulpes chaudes et charnues contre celles du brun, l’entraînant dans un baiser fougueux et bestial, comme jamais il n’avait dû partagé. Leurs langues entamèrent une danse effrénée, dans laquelle, elles s’entremêlaient, s’enlaçaient, et s’enroulaient, se frottant l’une contre l’autre sans même qu’elles puissent se rassasier pleinement, tant leurs fringales était grandes. Hyldra termina cet accouplement buccal en attrapant la lèvre masculine inférieure entre ses dents, la mordillant férocement, avant de l’accabler d’une succion, l’aspirant avec cupidité entre les lèvres de la Belle. Elle releva ensuite sa tête, accrochant la profondeur des iris de Dequerne, cherchant ainsi à capter sa réaction, face à la voracité dont elle venait de faire preuve. Un sourire carnassier et espiègle se dessina aux coins de sa bouche, quand elle tourna ensuite son regard dans la direction de sa sœur, qui semblait endormie à leurs côtés, occupant une bonne partie du lit.

Hyldra descendit brusquement de sa monture qu’elle venait de chevaucher, lui attrapant les poignets de manière ferme, l’incitant à se lever et à quitter la couche à son tour. Une fois debout, posant sa paume ouverte sur le haut de son torse, elle l’obligea à reculer, en direction du fauteuil en velours, sur lequel elle le fit asseoir en le poussant sèchement et brutalement. Ce fauteuil, qui avait servi de support pour elle en tant que spectatrice au début, se transforma donc cette fois en une véritable scène, sur laquelle la pièce de théâtre allait avoir lieu, y accueillant non plus le public, mais les acteurs…

Jamais elle n’avait lâché son regard, lui transmettant par cet échange visuel toute l’animosité et l’envie qui l’animaient. La flamme du désir consumait peu à peu son intérieur, aidée par l’ivresse toujours manifeste et vivace qui l’emplissait. Plantée devant Dequerne installé, la belle de glace toisa longuement et à loisir ce corps musculeux et attirant, ainsi offert à ses yeux, s’attardant ainsi sur chaque parcelle, non sans concupiscence et convoitise. Bien entendu, elle cherchait par la même occasion à se faire languir un peu, à faire perdurer cette attente, qu'elle espérait insoutenable pour lui.
A cette vue, elle se pinça subrepticement la lèvre inférieure, dévoilant ainsi son appétit lubrique. Une fois ses quinquets rassasiés, elle se dirigea enfin vers le Brun, grimpant ensuite sur lui, comme une amazone le ferait, ses genoux posés de part et d’autre des cuisses masculines. Une de ses mains prit innocemment le chemin, vers son bas ventre, à la recherche de son organe privilégié des plaisirs, qui, sous les doigts de la belle, s’éveillait un peu plus encore. A la conquête de ce trésor, la main d’Hyldra enveloppa sa masculinité, qu’elle caressa lascivement, alternant délicatesse et bestialité, cherchant ainsi tantôt à freiner son désir, tantôt à l’attiser… et titillant parfois du bout des ongles le sommet de cet organe triomphant.
Elle aimait posséder ce contrôle sur les mâles, jouant avec leur ardeur et leur envie.
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:14

4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Dequerne allongé sur le dos n'en croyait pas ses yeux... le cadette semblait encore plus en appétit que son ainée pourtant déjà bien ardente, mais là.... elle se jeta presque sur lui, mais pas dans un élan licencieux mais simplement conquérante, Dequerne lui revenait de droit et elle ne se privait pas de le montrer, l'embrassant avec une fougue emprunte de lascivité d'autant plus grande qu'elle n'avait pas dit un mot ni fait un geste lors de l'épique cavalcade entre Dequerne et Bellinda et qu'à présent elle rééquilibrait la balance des plaisirs, ce qui ne déplut pas à Dequerne.... Malgrés l'épuisement il ressentait encore en lui, l'ardeur charnel s'amplifier de nouveau et il se lança à corps perdu dans cet habile jeu de langue, tel un duel dont personne ne sortirait perdant.... et ce final cuisant dont il commençait à avoir l'habitude, la Belle lui mordant la lèvre qu'elle aspira goulument, Dequerne aimait les sensations forte, le laissant toujours entre plaisir et douleur, Hyldra avait le don de le faire se sentir vivre....


Penchée au dessus de ce corps masculin, elle releva sa tête, le rivant de son regard de faucon, l'étudiant presque, à l'affut de ses réactions... il lui sourit, et de sa lèvre perlait une goutte de sang qu'il essuya négligeament d'un revers de main. Cette "petite" avait de l'appétit... Un large sourire dominateur et plein de malice se traça sur ses traits angéliques puis jetant un vif regard vers sa soeur assoupie. A ce moment Dequerne se fit presque appé par les poignets et cette farouche valkyrie le relevant presque martialement mais tout en gardant une attitude féminine, se dévoilant peu à peu à Dequerne qui entrevit cette âme guerrière, impétueuse, sauvage et qui la rendait si désirable à ses yeux, le poussant fermement induisant l'ordre de s'asseoir dans la direction projetée brusquement par cette fine paume, le rivant toujours aussi intensément du regard qui l'étudiait sous tous les angles... la Belle de glace, triturant de ses dents sa lèvres, se repaissant des yeux de chacune des parties du corps de Dequerne affalé sur le siège, languissant délicieusement de la suite si prometteuse... Puis toujours aussi conquérante, elle vint à l'assaut de son tribut et de son attribut érigé... le saisissant tout en grimpant ensuite sur Dequerne et se penchant à moitié sur son corps, entamant de voluptueux mouvant replongeant l'homme dans une transe charnelle... les deux soeurs avaient le pouvoir de le faire languir avec tant de délice, tel un fruit murissant longuement au soleil le rendant d'autant plus juteux...

Mais au gout de Dequerne, Hyldra assise au milieu de ses cuisses était encore bien trop loin de lui, et lui attrapant la nuque, il la fit se pencher au dessus de son corps, accolant avec intempérance sa bouche à la sienne... Cette saveur... Cette langue veloutée... Les deux soeurs étaient très similaire et pourtant si différente, renouvelant les découvertes de cet instant qui serait probablement unique dans la vie de Dequerne. Conscient de cela, il profitait de tous ce que ses sens ressentait...

Le toucher... de cette peau satinée, d'un grain si fin et lisse que son seul contact plongeait Dequerne en émoi... glissant ses paumes sur chaque courbes... et ces lèvres à la pulpe parfaite...

L'ouïe... imperceptiblement stimulée par les respirations de la Belle, se raccourcissant peu à peu.... synonyme d'un plaisir naissant...

La vue... de ce corps parfaitement proportionnée, sensuel, poussant à une quasi luxure... qu'il dévorait des yeux...

L'odorat... de toutes ces fragrances, féminines, de ce corps s'échauffant peu à peu... l'enivrant de ses saveurs...

La gout... lors de ses baisers enflammés, gourmands, appliqués....


Le désir de Dequerne, atteignant un second paroxysme, le rendant si haletant, fébrile, presque enfièvré, son corps en proie à un frémissement sans égal que la fatigue provoquée par Bellinda avait crée, faisant choir toute ses défenses, le rendant l'unique objet de plaisir à la merci de la Belle de glace... le stimulant toujours de sa main en des gestes d'un extrème érotisme, et le torse de Dequerne frémissait, lentement caressé des l'éminences de la poitrine haletante de cette impétueuse valkyrie.

Puis écartant ses jambes sur lesquels elle était installé à califourchon, dégageant de ce fait son intimité, il y dirigea une main appliquée, la stimulant à son tour dans un geste doux et ferme à la fois mais ne s'y insérant pas, profitant de cette non pénétration d'un geste concentrique pour induire une sensation de plaisir mêlé de frustration, juste profitant du velouté de cette surface moite et brulante, afin de faire à son tour croitre le désir de la belle de glace au délà du tolérable... qui par son nez échappait déjà de petits gémissements, s'amplifiant peu à peu...
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4 - Taverne de Narbonne 080823063535300482408579*Hyldra*

Les caresses à la fois voluptueuses et bestiales que la Belle prodiguait à la masculinité dressée de Dequerne, semblaient l’entraîner dans les abîmes d’une transe exaltante et enivrante, au grand plaisir d’Hyldra qui ressentait ainsi l’appel animal sous ses doigts audacieux. Elle se délectait de le voir s’abandonner à ses palpations lascives, le guidant vers le chemin de l’excitation suprême. Mais à son tour, le Brun voulut l’emmener sur cette route enflammée et galvanisée, en venant contourner par des effleurements les précipices de l’antre des délices de la belle de Glace.

Par cette exquise initiative, il cherchait à lui donner la réciprocité de ce qu’elle venait de lui offrir, mais tout en retenant ses gestes et ses caresses, afin de faire perdurer le plaisir, la narguant sur les bords de son âtre brûlant, sans chercher à s’y insinuer, et dans lequel un brasier de désir s’était déclenché. Sous ses divines cajoleries, Hyldra adopta une gracieuse cambrure de son dos, basculant sa tête en arrière, avec sa longue chevelure platine qui vint tomber en cascade sur la chute de ses reins. Elle ne pouvait empêcher les palpitations de son cœur se mettre à danser la gigue, qui firent vibrer tout son être. D’intenses et vifs frissons se propagèrent sur tout le long de sa colonne vertébrale. La Belle se mouvait légèrement sur la cadence des frôlements intimes et entreprenants de Dequerne. Un élan de désir ardent, presque incontrôlable monta en elle, diffusant des ondes de chaleur étourdissantes à travers tout son corps. Ainsi les premiers symptômes de cette envoûtante frénésie fiévreuse commençaient à apparaître, prometteurs de troubles exquis à suivre.

Elle n’attendait qu’une chose, que les doigts intrépides du mâle se fassent plus aventureux encore… qu’ils cherchent à découvrir plus en profondeur les abysses de l’intimité enflammée de la Valkyrie. Le Brun se jouait d’elle en cet instant, faisant naître chez elle une certaine frustration, qui devenait ingérable. Or, cette cavalière dominatrice comptait bien garder le contrôle sur sa monture, bien que la pleine chevauchée n’était pas encore entamée.
Alors elle décida de reprendre les rênes, en éloignant la main de Dequerne de son antre, dans un geste déterminée et ferme. Après s’être laissée quelque peu submergée par ces vagues déferlantes d’effervescences lubriques, Hyldra reprit aussitôt la maîtrise de leur corps à corps, retrouvant toute sa bestialité. Elle agrippa fermement les poignets du mâle, l’obligeant à les ramener derrière le dossier du fauteuil, avant de les lier à l’aide d’un morceau d’étoffe qu’elle attrapa sur la coiffeuse, située à côté d’eux. Elle l'empêcha ainsi de la toucher, de profiter de la douceur de sa peau de pêche.
La Belle lança un regard carnassier au Brun, accompagné un léger sourire en coin.
Toujours assise en amazone sur ses cuisses viriles et contractées, elle vint se plaquer entièrement contre son torse, laissant son intimité épouser l’organe masculin de plaisir fièrement érigé, sans le laisser pour autant s’immiscer. Les extrémités des monts divins de la scandinave se durcirent au contact de la chair brûlante et frémissante de Dequerne.

En même temps qu’elle apporta sa bouche au lobe de l’oreille masculine pour le mordiller férocement entre ses dents, Hyldra entama une valse de ses hanches, à travers de sensuels mouvements de sa taille, qui vint se frotter contre le bas du bassin du mâle, et par la même occasion, entraîna d’intenses frôlements sur son membre endurci… Elle pouvait sentir l’excitation de Dequerne s’enflammer encore, contre elle, accentuant davantage la sienne propre. Elle accéléra la cadence au fur et à mesure, dans une course endiablée et sauvage.
Elle voulait se faire encore languir… se faire encore désirer… se faire convoiter, cherchant à rendre l’envie charnelle du brun insoutenable, à l’emmener à la limite de ce qu’il pouvait contenir… Jouer avec lui, s’amuser de lui, de son plaisir, tel était sa plus grande satisfaction. L’espièglerie teintée d’une pointe de sadisme pouvait se lire dans ses yeux…

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4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Hyldra au comble de son désir, s'enflamait de plus en plus, son souffle rapide et gémissant guidant Dequerne dans le rythme de son plaisir, l'enflammant tellement qu'elle se relevant, le regard embrasé, l'animalité de la belle exacerbé à son paroxysme, et dans une fougue inégalée au souvenir de Dequerne qui prit de stupeur regardait cette belle amazone s'emparer d'un ruban sur la coiffeuse et attacher fermement ses poignets aux accoudoirs de ce fauteuil, réceptacles de leurs ébats...

Dequerne aimait fougue bestiale, lui transmettant une Douce démence, dans la perpétuelle attente de la folie suivante insufflant autant plus de fougue et projetant les deux amants dans un délectable cercle vicieux où chaque protagonistes surpassait l'autre à son tour...

Puis la Belle de glace, se rasseyant promptement, plaquant son buste contre son torse, chacune de ses courbes épousant chaque muscle de l'homme soumit à ses désirs, se trémoussant sur lui dans une danse langoureuse et sensuelle, son intimité moite jouant de sa surface sur son attribut en émoi, intenablement tendu, lui mordillant si intensément le lobe que Dequerne en plissa les yeux, le visage balayé de cette douce chevelure platine, toujours partagé entre plaisir et douleur, et interminablement stimulé de ce balai luxurieux propre à rendre dément n'importe qu'elle homme normalement constitué et supplicié jusqu'à rupture, Dequerne banda les muscles de ses bras et les tendant, faisant presque pénétrer les cordons dans ses chairs, les rubans se rompant dans une bruit net de tissu déchiré, il regarda la belle avec une quasi véhémence, et la saisissant pas le fessier il se releva de son siège avec elle, et se retournant vivement vers le mur et la plaqua de son corps sur la porte, se servant de son poids pour l'y maintenir... Il put voir le regard de la belle, comme si elle s'assoupissait, les yeux mi-clos, engourdit d'alcool et de plaisirs, et si haletante qu'elle semblait à bout de souffle...

Il lui susurra à l'oreille:

"Et bien maintenant c'est toi qui va crier... longtemps..."

Ecrasant sa virilité sur son antre humide il abandonna à son tour ses dents à un mordillement langoureux, sentant les mains d'Hyldra se saisir de ses épaules et enserrer ses reins avec ses cuisses, leurs respirations conjointes prirent un rythme endiablé, laissant échapper de toute part plaintes et gémissements, leurs plaisirs s'exprimant librement, sans contraintes autres que le corps puissant d'un homme maintenant celui d''une femme, dont l'emportement laissait place à un abandon lascif...

Dequerne s'immisça, fermement, plus par toute cette frustration accumulée que par un élan libidineux, et leurs corps moites, luisant de sueur, glissant peau à peau dans un brasier de plaisir en perpétuel épanouissement. Il sentait les griffes de la belle lui meurtrir le dos, les épaules, s'agrippant à lui, et ses cuisses se resserrer fermement autours de sa taille, l'accompagnant de ses talons dans une interminable jeu de va et vient, et exprimant sa jouissance par de petites clameurs aiguës, guidant et encourageant l'homme dans ses assauts lanscinant...

La porte de la chambre en souffrance, grinçante jusqu'au linteau, exprimait elle aussi l'intensité de leur ébat....
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MessageSujet: Re: 4 - Taverne de Narbonne   4 - Taverne de Narbonne Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:15

4 - Taverne de Narbonne 080823063535300482408579*Hyldra*

Les liens autour de ses poignets ne semblaient finalement pas lui convenir, arrachant d’un geste brusque et net les rubans, qui entravaient sa liberté de mouvement, et qui l'empêchaient de se délecter du toucher de la chaire féminine. Les mains de Dequerne ne se firent pas attendre plus longtemps pour venir se poser sur les flancs de la Belle, appréciant certainement leur galbe harmonieux et gracieux.
Hyldra se sentit ensuite transportée dans les bras saillants et musculeux du Brun, qui vint la plaquer férocement contre la porte d’entrée de la chambre. Elle eut presque le souffle coupé par cet à-coup soudain. Le côté animal se réveillait enfin chez ce mâle, libérant toute sa sauvagerie, qu’il avait contenue jusque là, et se laissant prendre lui aussi au jeu par cette violence exacerbée.

Alors que la scandinave noua fermement ses jambes autour de sa taille, il vint lui susurrer au creux de l’oreille, en lui promettant de la faire crier. Les traits du visage de la Belle de Glace se durcirent aussitôt. Toute l’arrogance, la présomption et la prétention, tant caractéristiques de l’espèce masculine s’illustraient à travers ces quelques mots prononcés. Et ce qui eut pour effet de ranimer la rage chez Hyldra. A qui croyait il avoir affaire ? Une simple ribaude de bas étage, se livrant à tête perdue à la débauche ? Oh non, elle ne lui ferait pas ce plaisir de hurler de jouissance. Jamais à aucun homme, elle n’avait accordé cette satisfaction, et ce n’était certainement pas à lui qu’elle le ferait. Elle empoigna alors soudainement et brutalement son épaisse tignasse, qu’elle agrippa avec force à l’intérieur de sa main puis approcha à son tour sa bouche en direction de son oreille, afin de lui murmurer, après lui avoir lécher le lobe d’un coup de langue :

« Ecoute Chéri, ne rêve pas… Concentre toi plutôt…
Sache que quand je hurle, c’est seulement par haine…»


A son tour, l’impudent voulait la narguer, il colla sa virilité contre l’intimité moite de la Belle, dans un jeu de frôlements et de glissements lascifs, attisant un peu plus encore son brasier intérieur. Le fort contraste, entre la fraîcheur du bois de la porte contre laquelle elle était appuyée et la chaleur bouillonnante du corps saillant qui la maintenait, renforçait ses frémissements. Des vagues étourdissantes de frissons parcoururent l’ensemble du corps d’Hyldra, la faisant sombrer dans un tourbillon enivrant. L’atmosphère bouillonnait, et tout ce qu'il y avait autour d'eux se figeait. Le temps et l'espace en suspens...

Elle lui agrippa les épaules, enfonçant ses ongles dans la chair, au moment où il s’immisça enfin en elle, dans un geste vif et brutal, qui la fit se cambrer sous cette impulsion. La communion sauvage de leurs deux êtres s’engagea alors dans un tango torride et effréné, emmené par des ondulations débridées.
La Belle de Glace regardait Dequerne droit dans les yeux lors de leur étreinte, d’une façon, à la fois, dure, froide et provocatrice, se mordant la lèvre inférieure sous ses assauts bestiaux, qui la faisait tressaillir.

Leurs deux corps moites s’unissaient dans un accouplement volcanique et explosif, guidé par leur fougue et leur ardeur, les emmenant tous deux vers les bords des précipices de l’extase.

Hyldra resserrait toujours un peu ses cuisses autour de son bassin lui indiquant ainsi la cadence, et par ses déhanchements voluptueux l’incitait à accélérer le rythme de ses élans, qui se firent plus profonds et plus intenses, au grand plaisir de la Belle. Elle n’attendait que ça…
En pleine transe, ses sens se décuplaient, réceptifs à chaque mouvement virulent de bassin du mâle qui venait toujours un peu plus enflammer son âtre.
Ces frottements intimes et sauvages les emportaient vers les portes du plaisir suprême, vers ce ciel tant convoité.

Soupirs, gémissements, plaintes, murmures naissaient dans le fond de la gorge de la scandinave, qu’elle ne laissait pas échapper, cherchant à les contenir, par des pincements de lèvres. La sueur perlait, coulant le long de son cou pour poursuivre son chemin dans le creux étroit, formé entre ses deux monts célestes, en même temps qu’elle lui lacérait le dos par de violentes et frénétiques griffures.

Hyldra était emplie de ce cocktail détonant, mélangeant la sensation de rage, de fureur, à celle du plaisir exaltant, ce qui amplifiait la vivacité et l’intensité de leurs ébats…


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4 - Taverne de Narbonne 080823063536300482408585Dequerne

Outre-passant ses forces depuis de longues minutes comme rarement Dequerne ne l'avait fait avec une femme, il oeuvrait à leurs bon plaisirs en une intensité qu'il ne se connaissait pas, lui, l'épicurien étancant ses soifs multiples, sans aucunes vergognes, prenant selon son bon vouloir, et qui présentement se retrouvait entre lui cuisses charnues mais muclées d'une splendide et voluptueuse nordique, s'enflammant sous ses coups de reins et qu'il voyait se restraindre, se contraindre presque à ne pas laisser exploser ce plaisir pourtant légitime dû à élan charnel qui déja avec Bellinda était puissant mais qui à cause de la belle de glace ne fit que s'accroitre pas tant que la belle de feu s'y soit mal prise mais plutot que Dequerne n'avait finalement que peut de temps à accorder aux femmes et pour la première fois dans sa terne vie il avait l'opportunité d'en assouvir deux à consécutivement...

Et Hyldra, tendue, crispée à ne pas vouloir crier comme il se devait dans une telle circonstance alors que son intimité ruisselante le clampait régilièrement à des crispations sans autres significations que l'orgasme, et qui toujours restait presque silencieuse.... laissant croitre en parallèle en Dequerne plaisir et frustration, mélange étrange et inédit, il se découvrait des sensations nouvelles au contacts des deux Scandinaves, des sensations tant bonnes que mauvaises... mais proprement délectable et le faisant se sentir vivant...

Passant un bras autour de la taille d'Hyldra il la plaqua contre lui dans un geste puissant, la décollant du mur et de son autre main il la saisie par les cheveux lui lançant un regard qui a son tour plongeait au plus profond de ses iris d'acier embués de plaisir flagrant mais toujours avec cette haine sous-jacente d'etre traitée ainsi, l'amour et la mort mêlés en un seul regard... et Dequerne compris alors... et elle crierait... il le savait car il allait lui en donner une bonne raison...
La portant et la couchant sans ménagement en travers de la commode il lui dit alors:

"Tu sais, Hyldra, je ne ment jamais... et tu criera..."

Il se pencha alors sur elle presque presque à en toucher son buste de son torse et se saisit vivement de ses poignets qu'il ramena brusquement à lui, lui maintenant contre les seins de la belle qui lui jeta alors un regard des plus froid, presque cruel, comprenant tout à coup le basculement de la situation. Se débattant elle ne put pas s'extraire de la contrainte d'un homme pesant 80 livres de plus qu'elle.... et celui-ci lui annonça:

"Et si tu veux de la haine en voici un avant-gout..."

Il lui tenat ses deux poignets d'une main et lui administra une gflle magistrale sur la même joue qui s'était prise un revers la veille à Béziers, puis vivement, il lui resaisit les poignet et, toujours en elle, il s'activa de noueau mais cette fois sans aucune attention pour cette Amazone, méprisante envers l'homme qui pour une fois se retrouvait victime de Dequerne...

La douceur ne marche pas?
Et bien essayons la force....

Par d'intense mouvements de rapprochement, son bassin heurtant celui de l'Amazone sans retenue, Dequerne n'eu que le temps de tourner le visage pour éviter un crachat qui vint s'écraser sur sa joue, la salive y coulant lentement, il réattrapa les deux poignets d'une main et les plaqua durement sur son ventre, et de son autre main il lui tourna le visage et le poussa tout contre la commode et continua de s'activer entre les cuisses de la belle de glace qui entre deux protestations laissait enfin échapper des gémissements qui au fils des assauts se transformaient en légère plainte puis s'intensifiaient peu à peu jusqu'à atteindre un paroxysme convenant enfin à Dequerne qui s'acharnait toujours en elle, cette Amazone se débattant, mais qui malgrés ses gesticulations émettait des paradoxes de plaisirs toujours grandissants...

Dequerne lui dit:

"Doucement ma Belle... tu risque de réveiller ta soeur...."

Puis lachant un léger rire en deux souffles rauque, Dequerne emplit de cette délectable sensation de maitrise, sentit poindre le plaisir, lentement, la sueur lui coulant sur son échine surchauffée parcourut de nouveau par les frémissement de l'extase naissante... et sous ses main la belle jouissante s'abandonnant enfin à la contrainte qui finalement était le seule à lui faire pleinement atteindre ce paroxysme dans l'échelle des plaisirs... l'amour et la mort...

Dans un dernier élan, prit d'extase charnel, Dequerne se rédit et émit un long râle contenu synonyme de son plaisir se répendant en elle en une brulante cascade, telle une éruption volcanique faisant gronder tout l'être de Dequerne... qui une fois rassasié de chair ralentit peu à peu son assaut, et au bout de quelque instant délaissa la Belle, tout aussi épuisée que lui mais qui semblait rivée par sa propre jouissance, peut-etre abordée d'une nouvelle manière....

Puis reprenant ses affaires pour retourner dans sa chambre il lui dit alors:

"Et bien tu vois, j'ai pas mentit, t'a bien criée..."

Dequerne la laissa ainsi, haletante sur la commode et entra dans sa chambre sans se retourner...

( Archivage suspendu sur ce RP pour cause de délestage de halle, sera poursuivit dès qu'une source externe sera trouvée, reprise du RP à Carcassone "Auberge des promeneurs" )
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